• APRES L'ASSASSINAT AU GABON DE SON FILS, ERIC EDOU EBANG, DANS LE CADRE D'UN CRIME SACRIFICIEL OU RITUEL EN MARS 2005, LE PRESIDENT DE L'ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LES CRIMES RITUELS AU GABON (ALCR), EN DEPLACEMENT EN FRANCE, VIENT D'APPRENDRE L'ENLEVEMENT, DEPUIS DEUX JOURS, DE SON FILS AINE EBANG DAVID GAUTHIER. A CET EGARD, JE SOLLICITE L'AIDE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE, DES ETATS-UNIS, DE LA LIGUE INTERNATIONALE DES DROITS DE L'HOMME, DE SURVIE, DE L'AMBASSADEUR DES ETATS-UNIS EN GRANDE BRETAGNE... J'EN APPELLE AUX AUTORITES GABONAISES DE TOUT METTRE EN OEUVRE AFIN QUE LE JEUNE EBANG DAVID GAUTHIER SOIT RETROUVE ET REMIS A SES PARENTS SAIN ET SAUF. TOUTE AIDE INDIVIDUELLE OU COLLECTIVE, GABONAISE OU INTERNATIONALE, EST REMERCIEE D'AVANCE. Jacques Janvier Rop's Okoué Edou

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  • Un des fils d'Omar Bongo brièvement interpellé à Paris à la suite d'une rixe

    PARIS, 1 sept 2007 (AFP)

    Un des fils du président gabonais Omar Bongo Ondimba a été brièvement interpellé par la police parisienne à l'issue d'une bagarre de rue dans la nuit de vendredi à samedi, et inculpé pour "conduite sous l'emprise d'état alcoolique", a-t-on appris de sources concordantes.
    En fin de soirée vendredi, une patrouille de la brigade anti-criminalité(BAC) de Paris aperçoit plusieurs personnes, la plupart noires, en train de se battre à mains nues devant l'entrée d'une boîte de nuit sur les Champs-Elysées, a-t-on indiqué de source policière.
    Dès qu'ils interviennent, ils sont pris à partie par une trentaine d'hommes et demandent des renforts. Après leur intervention, qui a mis fin selon une source judiciaire à une "grande confusion", huit individus sont interpellés, dont l'un des fils Bongo.
    Selon une source proche de l'enquête, il aurait d'abord résisté grâce à sa forte corpulence à deux tirs de gomme-cogne (flash-ball), puis aurait été neutralisé à l'aide d'un pistolet à impulsions électriques (Taser). Le policier aurait, selon la même source, pressé trois fois sur la gâchette, lui infligeant trois impulsions électriques.
    N'étant pas, selon la même source judiciaire "l'un des auteurs principaux de l'affaire", il a été rapidement remis en liberté.
    Résidant la plupart du temps à Paris, ce fils d'Omar Bongo ne dispose pas d'un passeport diplomatique gabonais, a précisé la source judiciaire.


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  • Le torchon brûlerait-il entre Maître Sassou et Maître Bongo Ondimba?

    Des rumeurs font état de l'hospitalisation à Paris de Lucie Edith Sassou Ondimba Bongo pour cause de maraboutage outré d'une nouvelle rivale plus fortiche en fétiches ! Omar, Docteur Es Jupon s'est épris d'une nouvelle femme qui manierait aussi bien le coup de rein que l'art de l'envoûtement. Résultat, Edith Lucie, épouse et fille de Président serait hospitalisée à Paris.

    La rumeur dans l'espace politique africain est comme la fumée dont le feu générateur de la vérité brûle si proche, si proche. Edith est malade ; ça pourrait être ça la nouvelle. La cause est jugée mystique. A vrai dire, la fille de Sassou est bien la fille de son père car elle adore les fétiches. L'ex-épouse de Bongo devenue musicienne s'en plaignait souvent. Dans ce genre de guerre, il faut croire que la nouvelle conquête de Bongo est une amazone du fétiche, une samouraï de l'envoûtement.

    Il paraîtrait à ce qu'il paraît que le torchon brûlerait entre Bongo et son jeune beau-père Sassou (n'exagérons rien : le beau-fils peut être plus vieux que le beau-père ; ce n'est pas gravissime !). Il se sait que la fille a défendu son père pendant les moments de traversée du désert (encore qu'à Oyo, il n'y a pas de désert) et lors des événments de 1997. Chez les Sassou, on a le sens de la famille et les membres se soutiennent en cas d'adversité. Sassou doit reprocher à Bongo de ne pas avoir protégé son épouse légitime contre une rivale du dehors. Et la colère doit être à la hauteur du tracas fétichiste causée par la rivale (gabonaise?). Omar, celui qu'on avait surpris dans un hôtel parisien en quête de femmes de joie s'est peut-être lassé de sa jeune épouse mais ça ce n'est que des potins.

    Edith a épousé Omar (un musulman qui adore le dry gin) Ondimba Bongo pour donner à sa mère ce que son père donne à Antoinette Tchibota Sassou. Il paraît qu'elle est arrivée déjà enceinte d'un autre dans le palais de Bongo ! En matière de coucherie, la fille Sassou est bien la fille de son père qui fait des enfants hors mariage, même à des femmes mariées et qui reconnaît quand même les mômes ! Mais dans les palais, cela est d'une banalité, le sexe n'est qu'une forme de pouvoir sans plus et les enfants ne sont pas un problème. Bongo a par ailleurs, et c'est là tout son mérite, de nombreux fils adoptifs...

    Les Gabonaises n'ont jamais apprécié celle qui venue d'ailleurs leur a volé leur "Yaya Bongo". L'heure de la revanche aurait-elle sonné ? Dans la cour des grands, la conquête des grands de ce monde est parfois une affaire de mysticisme : quand le charme de la nature ne suffit pas, il faut passer à une séduction moins naturelle, un peu forcée. Madame Lissouba en sait quelque chose car on lui aurait jeté le mwandza pour avoir arraché le professeur au coeur des Congolaises...

    Nous avons appris que cette guéguerre sentimentale aurait été déclenchée par madame Bongo elle-même qui serait sortie avec un ministre de son père (Sassou), en la personne d'un certain monsieur Okombé. Les gardes du corps gabonais ont vite fait d'informer maître Omar.  Bongo n'aurait fait que de lui rendre la monnaie de son infidélité...

    Dans cette guerre des étoiles, genre forces obscures contre forces obscures, nous attendons les suites avec délectation dans la radio trottoir car il semblerait que le Gabon mène un à zéro mais Darvador Edith n'a pas dit son dernier mot !

    Affaire à suivre !  

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  • Edith Bongo - Le destin tragique d'une femme

    Envoi de Lu dans www.bdpgabon.org le 02 Septembre 2007 12:51:59:

    Gabon - Congo: Edith Sassou Bongo Ondimba - Le destin tragique d'une femme de pouvoir qui en voulait trop...

    Catégorie: Griffaronades
    Source: Auteur Anonyme
    Dimanche 02 Septembre 2007 à 00:50

    Edith Bongo: Destin pourri et ...tragique
    Elle est belle, jeune, elle, fille de président qui a voulu devenir femme de président. Pour donner à sa mère ce que son père a transmuté à Antoinette. Son diplôme de docteur en médecine en poche, Edith Sassou n'a jamais exercé la médecine car elle va devenir madame Bongo Ondimba.
    Elle largue son petit ami à coups de millions de francs cfa... Aujourd'hui, Edith Bongo vit à Paris, malade, on parle de la maladie de Parkingson, d'un empoisonnement, du fait qu'elle ait touché les fétiches de Bongo ou d'un envoûtement mais une chose est sûre, la richissime Edith, aux dires de ses proches que j'ai rencontrés, porte des couches-culottes pour dormir et se shoote à la seringue. Son goût pour la drogue était connu mais nous passons de la rumeur à un état de fait. Peut-être prend-elle des injections hypodermiques à la morphine.

    Qui sait ? Elle ne se cache plus pour se shooter.

    Comment en est-on arrivé à ce scénario catastrophe ? Comment le conte de fée a-t-il pu brusquement tourner au conte d'enfer ? Tout est parti d'une histoire de nectar : Okombi Salissa, ministre de Sassou, on dit que c'est le seul que l'enfant terrible d'Oyo ne contrôle pas, aurait réniflé le nectar présidentiel réservé à Bongo Ondimba. Les chefs d'Etat ayant la jalousie tenace, Okombi Salissa ne doit, paraît-il d'être encore en vie seulement parce qu'Edith aurait menacé son père : " Si tu le tues, je jette en pâture tous tes crimes aux yeux du monde !" Sassou a pensé que sa fille était devenue folle. Il a fallu l'intercession de madame Antoinette Sassou auprès de sa belle-fille pour que le statu quo demeure.

    Protégée nuit et jour par trois gardes du corps, Edith Lucie Bongo, fille de président, épouse de président, a payé cher un coup tiré dans la griserie du cannabis. Un coup tiré, on marque un but de plaisir mais parfois ce but compte double avec en prime une déliquescence physique ! Bongo l'aurait-il empoisonnée ? S'agit-il d'un envoûtement ? Est-elle simplement malade ? C'est désormais trop privatif pour que mes sources osent poser des questions.

    Son père, Sassou, a dit qu'il n'avait pas voulu de ce mariage car aujourd'hui, sa fille bien-aimée est très mal en point. Quand on mange du Omar, on récolte certes des mbongos (argent) mais attention ! On peut digérer très mal. En effet, les nains sont très redoutables en coups fourrés. Surtout quand ils portent des talons. Un coup de talon, ça peut faire très mal... Ce n'est donc plus demain qu'on verra Edith en public avec son mari dans l'état où elle se trouve. Le conte de fée tourne court. Peut-être que le destin du père, quant à sa fin, sera pire. Dieu seul sait... Bongo et Sassou se croisent dans les rendez-vous officiels. Désormais, les sourires sont de façade.

    Quand on ne peut plus retenir ses urines entre autres, on porte des couches-culottes pour dormir. Edith aura compris la leçon mais elle a eu tort de commettre une erreur trop publique. Sa belle-mère Antoinette est beaucoup plus fûtée. Elle se tape des jeunes dans la discrétion et quand la rumeur point à l'horizon, elle fait disparaître le suspect en l'envoyant en mission.

    N'a-t-elle pas une fondation nommée Congo-Assistance ? En France, par exemple (j'en connais un exemple) des missions dont on ne revient jamais...

    Vous avez un doute, hein ? Avez-vous vu la vidéo de la fête de l'indépendance le 15 août 2007 à Owando sur le site officieux de Sassou ? Il est tout seul, le pauvre petit ! Yaya Bongo est seul ! Il marche les bras pendouillants sur le tapis rouge et dédaigne de regarder la caméra. Vous auriez fait quoi à sa place, hein ? Beau papa t'invite, ça fait vilain et mal poli de ne pas répondre à l'invitation. Donc, l'air de dire : " J'ai pas envie, maman mais je bois quand même ma tasse", Bongo s'amène. Seul ! Il n'a pas de chance avec les nanas, Yaya Bongo : la première se barre avec un musicien, lui préférant un président de la république, la seconde, celle qu'il est allé chercher chez lui, dans son Congo natal, une fille de chef d'Etat, le cocufie avec un vulgaire ministre et aux yeux des gardes du corps !

    Comme quoi, question meufs, c'est pas gagné même dans les palais.

    Affaire à suivre au palais téké d'Ondimba...

    Auteur Anonyme Griffaronneur.


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