• L'utilisation de l'argent des gabonais par le 'clan' qui dirige

     

     

     

    Mardi, 16 Octobre 2007

    L'utilisation faite par l'argent des gabonais au Congo est un scandale. Le "clan qui dirige", pille proprement notre pays ! Pendant ce temps au Gabon, émirat pétrolier d'à peine un million d'habitants, on meurt de pauvreté, de maladie, de malnutrition...

    * Les bidonvilles poussent comme des champignons. 

    * Il y a pléthore d'élèves dans les classes (115 élèves en moyenne par salle).

    * Il n y a pas de structures sanitaires adéquates (manque de médicaments, de médecins et de personnel qualifié...).

    * Près de 70% de la population est au chômage...

    * Une frange de la population n'a pas accès à l'eau potable et à l'électricité, nous ne parlerons pas du téléphone.

    C'est une aberration, qui comprendra pourra !

    Regardez dans cette vidéo, pendant que le peuple meurt de faim, comment ils s'amusent avec notre argent;  le "clan" au grand complet

    Attention, ventre affamé n'a point d'oreilles, pendant que vous participez à vos agapes et beuveries au détriment du peuple.

    Pendant ce temps,  les comptes bancaires de la famille Bongo Ondimba sont continuellement alimentés.

    © RDPG


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  • dimanche 14 octobre 2007 par Xavier Monnier

    Le petit mais si sympathique monde des barbouzes françaises va se draper dans le deuil. Leur figure historique, Gilbert Bourgeaud alias « Bob Denard » s'en est allé. <script type=text/javascript> /* Open Centered Popup Window Script- DHTMLShock (www.dhtmlshock.com) To add more shock to your site, visit www.DHTMLShock.com */ function centrarVentana(theURL,winName,features, myWidth, myHeight, isCenter) { //v3.0 if(window.screen)if(isCenter)if(isCenter=="true"){ var myLeft = (screen.width-myWidth)/2; var myTop = (screen.height-myHeight)/2; features+=(features!='')?',':''; features+=',left='+myLeft+',top='+myTop; } window.open(theURL,winName,features+((features!='')?',':'')+'width='+myWidth+',height='+myHeight); } </script>  

    Et Bakchich se joint à leur chagrin tant le Bob a mis de l'animation dans nos pages. Un héros récurrent en moins. Certes « le Vieux » n'était pas aussi vaillant qu'avant. Même pas l'énergie de se rendre à son procès, l'année dernière, qui l'a vu échappé au mitard...

    Les présidents démocrates africains risquent aussi de le pleurer. Eux qui, à l'instar d'Idriss Déby, ou de Lansana Conté, ont misé sur lui jusqu'à la dernière minute. Une fidélité touchante.

    Bref, c'est un bon camarade des joyeux drilles, amateurs de coups tordus en Afrique, qui disparaît. Et la relève est loin d'être assurée du côté des barbouzes françaises.

    La galerie des « affreux » n'a pas bonne mine. Le célèbre Jeannou Lacaze, général passé par la Légion étrangère, le Tchad, le Togo et la Côte d'Ivoire du général Gueï a cassé sa pipe en août 2005. Quant au général Loulou Martin, ancien de la Légion passé par l'OAS et la garde présidentielle du Mollah Omar du Gabon, il s'est éteint le 21 septembre 2005. Bob Denard, leur homme de main préféré, s'est éteint deux ans plus tard.

    À voir comment oeuvrent ses anciens lieutenants, on comprend que l'ancien baroudeur s'en soit allé, après avoir contracté, à bon escient un Alzheimer.

    Ses ex-disciples n'en finissent plus de jouer les charlots en Afrique. La cinquantaine approchant, Dominique Malacrino - alias le commandant Marques - et Jean-Claude Sanchez, ont voulu voir du pays. Et se sont empêtrés dès 2002 dans le bourbier ivoirien. Leur auguste mission auprès du président Laurent Gbagbo a tourné court. Juste le temps pour leurs hommes de se blesser en manipulant un lance-roquette...

    Ces ratés ne sont rien en comparaison de l'épopée malgache de juin 2002. Chassé du pouvoir par les urnes, le président de l'île Rouge Didier Ratsiraka mise sur Luc Marques de Oliveira et Marc Garibaldi pour reconquérir le pouvoir. Les deux loustics, flanqués de dix recrues toutes connues des services secrets, ne trouvent rien de mieux que d'embarquer en plein jour à l'aéroport du Bourget. Leur Falcon 900 ne verra jamais la grande île. Intercepté en Tanzanie, l'épique équipe sera rapatrié dare-dare en France.

    Insulte suprême à la mémoire chancelante de Bob, une fantasque équipée s'est fait allumer en 2001 aux Comores. Débarqué dans des canots pneumatiques sur l'île de Mohéli, la douzaine de bras-cassés a été accueilli au son de la mitraille comorienne. Cinq membres de ce redoutable escadron sont restés sur le carreau, dont leur leader Laurent Van Pottalsberghe.

    « Les services ne contrôlent plus rien chez les barbouzes. Du coup on assiste à des équipées fantaisistes », commente, désabusé, un ancien du milieu. « Ces mecs sont peut-être courageux physiquement, mais ils sont totalement incompétents. Aucun n'a passé assez de temps dans l'armé pour structurer une équipe, aucun n'a le charisme et les réseaux d'un Denard ».

    Longtemps présenté comme une alternative possible au légendaire Bob, Paul Barril apparaît aussi comme un has been. Présent en 1988 en Côte d'Ivoire ou dans les années 90 au Rwanda, l'ancien capitaine du GIGN traîne toujours ses guêtres en Afrique. « Il a une technique très particulière pour se vendre. Il crée les problèmes puis se propose de les résoudre » , persiflent les mauvaises langues. Et la tournée des guignols en Afrique n'est pas prête de s'arrêter. Les rescapés de l'équipée Van Pottalberghe ont fait un détour par le Bénin, juste avant les élections présidentielles de 2007. La Première Dame, épouse du président Kérékou, voulait maintenir son bine-aimé au pouvoir. Raté. Mais avec de tels gougnafiers, les tranches de rigolade ne devraient pas manquer.

    Source: Bakchich


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  • Victime du colonialisme Français , Mon mari Félix Moumié

    Victime du colonialisme français : camer.be

    Le 2 novembre 1960, dans le restaurant « Le Plat d'argent », à Genève, le leader indépendantiste Felix Moumié est empoisonné par un agent français William Bechter. Sa veuve témoigne, dans le livre Victime du colonialisme français. Mon mari Félix Moumié, paru aux Editions Duboiris.

    Depuis le vote de la loi sur « les bienfaits de la colonisation » et la polémique que ce texte a suscité dans les milieux intellectuels et politiques, de nombreux débats télévisés évoquent ce dossier sans donner la parole aux acteurs de l'histoire.

    Pour la première fois, dans cet ouvrage, une femme aujourd'hui âgée de 75 ans décrit la réalité de la colonisation française en Afrique noire dans les années 50.

    Madame Moumié et son mari ont été soutenus dans leur lutte pour les indépendances africaines par de nombreux chefs d'Etat : l'Algérien Ben Bella, l'Egyptien Nasser, le Chinois Mao Tse Tung, le Vietnamien Hô Chi Minh, le Guinéen Sékou Touré et le Ghanéen Kwame Nkrumah.

    Elle raconte les persécutions dont ils ont été victimes de la part du pouvoir colonial, leur exil au Caire, leurs voyages en Chine, au Vietnam et les dicours vibrants de Félix Moumié à l'ONU.

    Elle explique comment elle a dû vivre dans la clandestinité, comment elle a été contrainte de se séparer de sa fille, et comment elle a continué son combat malgré le traumatisme de l'assassinat de son mari en 1960.

    L'histoire poignante d'une femme dont la popularité en Afrique et en Europe n'a pas faibli depuis les années 60 ! Un témoignage inédit et attendu dans l'opinion africaine et française ! Un livre fort, émouvant et instructif !

    Prix: 15.00 EUR

    Victime du colonialisme Français : Mon mari Félix Moumié

    auteur : Charles Onana

    Ed:Duboiris 2006

    ISBN :2 9522315 2 4

    Disponible auprès de la FNAC, Tchayas Boutique et plusieurs autres librairies
    ou Contact : +33 (0) 6 61 11 20

    Source : Prisma International


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  • France : Nicolas Sarkozy corrompt publiquement de grands éditorialistes

    Nicolas Sarkozy : camer.be

    Après avoir dénoncé la censure qui frappe toute critique du président Nicolas Sarkozy, les syndicats de journalistes se sont indigné des diverses fonctions honorifiques et missions rémunérées offertes par le président de la République à onze chroniqueurs influents des grands médias.

    • L'ancien courtisan de François Mitterrand, Jacques Attali, éditorialiste à l'hebdomadaire l'Express, a été nommé président de la commission pour la « libération de la croissance française »

         • George-Marc Benhamou, confident officiel l'ancien président Mitterrand, éditorialiste au quotidien Nice Matin et chroniqueur au quotidien La Provence, a été nommé « conseiller pour la culture et l'audiovisuel » du président de la République.

    • Jean-Louis Bourlanges, chroniqueur sur la radio France Culture, a rejoint le « Comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République »

         • Guy Carcassone, chroniqueur à l'hebdomadaire Point, a rejoint le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République »

    • Jean-Claude Casanova, fondateur de la revue Commentaire, éditorialiste associé au quotidien Le Monde, a rejoint le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République »

         • Jean Marie Colombani, ancien directeur du quotidien Le Monde, chroniqueur politique sur France Inter le vendredi matin, et animateur de l'émission « Face à face » sur la chaîne de télévision Public Sénat a accepté une mission officielle de trois mois sur la réforme des conditions d'adoption.

    • Olivier Duhamel, chroniqueur sur France Culture, a rejoint le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République »
    • Yves de Kerdel, éditorialiste au quotidien Le Figaro et chroniquer à la radio économique BFM, a rejoint la commission pour la « libération de la croissance française »
    • Éric Le Boucher, chroniqueur économique au Monde, a rejoint la a commission pour la « libération de la croissance française »

    • Myriam Lévy, qui suivi la campagne de Ségolène Royal pour Le Figaro, a été nommée conseiller en communication du Premier ministre.

         • Catherine Pégard, rédactrice en chef du service politique de l'hebdomadaire Le Point, a été nommée conseiller politique du président de la République.

    Par ailleurs,

    • Marie Drucker, présentatrice du journal télévisé de France 3, est l'épouse d'un député et ancien ministre.
    • Christine Ockrent, animatrice de l'émission « Duel sur la 3 » sur France 3, est l'épouse du ministre des Affaires étrangères

         • Béatrice Schoenberg, présentatrice du journal télévisé de France 2 est l'épouse du ministre de l'Environnement.

    À l'inverse

    • Laurent Solly, ancien chef de cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur, a rejoint la direction de la principale chaîne de télévision TF1.

    © Source : voltairenet


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  • France : La France refuse de démanteler ses bases militaires

    Jean-Marie Bockel : camer.be

    La "Mère patrie" croit toujours qu'elle a un rôle providentiel à jouer en Afrique. Les déclarations de Jean-Marie Bockel, ont renforcé cette idée hier, 2 octobre 2007, à la Résidence de France à Yaoundé.

    Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat français à la coopération et à la francophonie, s'est en effet confié à la presse hier à Yaoundé. Trois thèmes majeurs ont dominé l'échange avec les journalistes : d'abord la mise en œuvre du Contrat de désendettement et de développement (C2D), ensuite les accords de défense et de maintien de la paix, enfin l'épineuse question de l'immigration choisie. D'entrée de jeu, le secrétaire d'Etat se dit satisfait de la réalisation des projets financés par les fonds issus du C2D et de toutes les autres initiatives de coopération bilatérale.

    En termes d'engagements, affirme l'ambassadeur de France au Cameroun, Georges Serre, "la coopération civile française [inscrit le pays de Sarkozy] au rang des partenaires bilatéraux et multilatéraux du Cameroun, avec une moyenne de 65,6 milliards de Fcfa par an au cours des cinq prochaines années." Une opportunité de développement à saisir. Illustration. Le C2D, provision financière de 352,83 milliards de Fcfa sur six ans (2006 - 2011) est investi dans l'éducation de base, les infrastructures routières et urbaines, la santé, le développement rural et l'environnement, le pilotage et les études.

    Jean-Marie Bockel ne s'empêche de rappeler qu'il s'agit d'un levier pour l'amélioration des conditions de vie. Pourvu, dit-il en s'inspirant du discours sarkozien sur l'Afrique, que les Camerounais montrent qu'ils sont capables d'impulser et d'entretenir eux-mêmes le désir de se développer.

    Ce développement doit se faire dans un contexte de paix. Le secrétaire d'Etat justifie la permanente présence française sur le sol africain, à un moment où on pense à un démantèlement des bases militaires françaises sur le continent. "Nos bases servent d'appui à toutes les forces en place. Nous jouons un rôle de soldat de la paix en respectant une certaine éthique. C'est vrai que sur le terrain, ce n'est pas facile", reconnaît Jean-Marie Bockel qui conclut : "Nous jouons ce rôle et c'est bien !" A sa suite, le général Emmanuel Beth, directeur en charge de la coopération militaire et de défense, confesse que "le dispositif militaire français sur le sol africain aujourd'hui est adapté à l'évolution des Etats et à l'organisation sous-régionale et régionale ; il accompagne tous les dispositifs de paix et de sécurité."

    Pour davantage illustrer la pertinence des bases militaires en Afrique, il affirme que, dans le cadre du conflit frontalier entre le Nigeria et le Cameroun au sujet de la presqu'île de Bakassi, la France a mis sur pied le dispositif Ramis dès 1996 pour "accompagner le règlement politique de la crise."

    Une partie de l'opinion ne partage pas cette vision du rôle des bases françaises. Malgré les discours de désengagement, la France renforce sa présence militaire en Afrique. Celle-ci a quelquefois aidé des dictateurs à se maintenir au pouvoir. En cas d'agression, on n'a plus vu la France intervenir aux côtés des gouvernements régulièrement élus. Nombreux sont ceux qui gardent en mémoire son rôle trouble dans la crise ivoirienne, de même que son faible engagement aux côtés du Cameroun dans le conflit de Bakassi. Mais Jean-Marie Bockel affirme la volonté de la France de continuer d'élargir ses bases militaires, voire à trouver de nouvelles variantes de la coopération de "maintien de la paix". L'illustration est ce soutien à l'Ecole internationale de formation au maintien de la paix d'Awaé. Le secrétaire d'Etat français s'y est rendu hier en mi-journée après la signature des conventions d'appui à la décentralisation et à l'amélioration des performances de la police camerounaise.

    De quoi Biya va parler avec Sarkozy

    Paul Biya sera en France vers la fin du mois d'octobre. L'information a été confirmée hier, 02 octobre, par le secrétaire d'Etat français à la coopération et à la francophonie, Jean-Marie Bockel. Son programme prévoyait une rencontre avec le président Biya à Etoudi. Mais ce dernier lui a fait savoir, par l'entremise du Premier ministre, qu'il ne pourrait plus le recevoir, du fait qu'il se trouve encore à l'étranger. Mais au sujet de son déplacement pour la France, pas de doute, sauf impératif de dernière minute.

    Selon Jean-Marie Bockel, le président Biya et le président Sarkozy vont débattre de trois questions majeures : le première a trait aux relations bilatérales (France-Cameroun), la deuxième est liée aux rapports sous-régionaux (le Cameroun réaffirme son rôle moteur dans l'émergence de la sous-région Afrique centrale), et la troisième est en rapport avec les problématiques multilatérales. Ces problématiques puisent leur essence dans le discours d'orientation que Sarkozy, le président français, a prononcé dernièrement au Sénégal. Celui-ci relevait les potentialités de l'Afrique, ses atouts et les conditions de son développement.

    © Le Messager : Par Alexandre T. DJIMELI


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