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Par okouetch le 22 Novembre 2007 à 06:46
Tchad: le président de L'Arche de Zoé se dit "lâché" par la France
Par Sonia ROLLEY - AFP -
N'DJAMENA (AFP) - Le président de L'Arche de Zoé, Eric Breteau, qui s'est dit mardi "lâché" par les autorités françaises, a relancé, depuis la prison de N'Djamena où il est incarcéré, la polémique sur la tentative de transport du Tchad vers la France de 103 enfants par son association.
"On a été lâchés par le gouvernement français. On a même été enfoncés", a affirmé à des journalistes de l'AFP et de Radio France internationale (RFI) le responsable de l'association, arrêté le 25 octobre à Abéché, dans l'est du Tchad frontalier du Soudan, alors qu'il allait faire embarquer les enfants dans un avion.
"Mais on a des preuves et elles sortiront", a menacé Eric Breteau, réitérant que les autorités françaises étaient au courant de cette opération controversée.
Dès le 25 octobre, Paris s'est vivement désolidarisé de L'Arche de Zoé, qualifiant son opération d'"illégale et irresponsable".
Le président français Nicolas Sarkozy, tout en dénonçant une "équipée assez lamentable", a finalement promis le 6 novembre d'aller "chercher" au Tchad, "quoi qu'ils aient fait", les six membres français de l'association qui y sont toujours détenus. Ces propos avaient provoqué des tensions entre Paris et N'Djamena.
"La justice se fera ici au Tchad", avait sèchement répliqué le président tchadien Idriss Deby Itno.
Les six Français de L'Arche de Zoé sont inculpés au Tchad d'enlèvement de mineurs et escroquerie, et sont incarcérés à la maison d'arrêt de N'Djamena où une correspondante de l'AFP a pu les voir mardi dans leurs deux cellules.
Quatre responsables de l'est du Tchad, poursuivis pour complicité, sont détenus dans des cellules voisines.
Les prisonniers semblaient en bonne santé et ont affirmé être bien traités par l'administration pénitentiaire tchadienne.
Eric Breteau a déploré le battage médiatique autour de cette affaire.
"Tout le monde parle sauf nous, il y a une sorte d'acharnement. On cherche à nous empêcher de parler", a-t-il estimé.
"Du peu que l'on sait, on comprend qu'il y a une cabale hallucinante au centre d'une affaire d'Etat", a ajouté son assistante Emilie Lelouch, également détenue.
Les responsables de L'Arche de Zoé, qui ont toujours présenté les enfants comme des orphelins du Darfour, région soudanaise voisine en proie à une guerre civile, ont réaffirmé leur position et plaidé la bonne foi.
"Pour nous, ça reste des orphelins du Darfour et on n'a jamais rencontré leurs familles", a assuré Eric Breteau. "On n'est jamais allés les chercher. Tout s'est passé par l'intermédiaire de chefs de villages qui nous apportaient des documents écrits, comme quoi ce sont des orphelins du Darfour", a-t-il insisté.
"Les chefs avec lesquels on a travaillé nous ont peut-être menti", a admis pour sa part Emilie Lelouch. "Mais si ces enfants avaient des parents, ils étaient avec nous pendant plus de six semaines: pourquoi ne les a-t-on jamais vus?", a-t-elle interrogé.
Selon une enquête d'organisations humanitaires internationales, la quasi-totalité des enfants sont originaires de villages tchadiens de la zone frontalière et ont au moins un parent ou un adulte qu'ils considèrent comme tel.
Trois journalistes français, les sept Espagnols de l'équipage de l'avion affrété pour emmener les enfants en France, et un pilote belge qui en a acheminé une partie à Abéché depuis la frontière tchado-soudanaise sont inculpés au Tchad dans cette affaire mais ont été libérés et rapatriés.
Tous les inculpés encourent cinq à vingt ans de travaux forcés au Tchad.
Source: Sonia Rolley - AFP
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Par okouetch le 18 Novembre 2007 à 19:03
Ahmat Mahamat Bachir veut un procès au pays
Le ministre tchadien de l'Intérieur, Ahmat Mahamat Bachir, a estimé dans une interview publiée mardi par le quotidien Le Parisien - Aujourd'hui en France qu' "un procès en France" des membres de l'association Arche de Zoé "serait une insulte".
M. Ahmat Bachir évoque "une justice" tchadienne "compétente" et explique qu'"un procès en France constituerait une insulte pour le peuple tchadien". "Quand nos délinquants se font arrêter chez vous, ils ne sont pas amenés ici", précise-t-il. "Les faits ont été commis au Tchad. C'est pourquoi ces bandits doivent être jugés et condamnés ici", insiste-t-il.
Les membres inculpés de Children Rescue, l'opération controversée montée par l'ONG l'Arche de Zoé et destinée à amener en France une centaine d'enfants, "doivent aussi purger leur peine dans le pays: qu'ils goûtent à nos prisons!", s'exclame le ministre tchadien de l'Intérieur.
"Et, une fois qu'ils auront purgé leur peine nous les expulserons du pays une bonne fois pour toute", affirme le ministre.
Le ministre explique le Tchad va renforcer ses contrôles. "Désormais", les autorités tchadiennes réclameront "un rapport d'activité mensuel détaillé aux organisations humanitaires déjà installées". La confiance n'exclut pas le contrôle", conclut-il.
Source: Afrique centrale
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Par okouetch le 18 Novembre 2007 à 03:24
Cécilia Sarkozy : QUE MON EX SE DEBROUILLE SANS MOI.
Au cas où mon ex l'aurait oublié, je ne suis pas partie de l'Elysée pour la caverne des pompiers de Paris. Ses coups de fil incessants depuis notre rupture m'exaspèrent au plus haut point.
J'ai refusé d'aller au Tchad. Que les membres de l'Arche de Zoé se débrouillent. Sur le plan interne, tout est de sa faute. Grève etc, il a allumé les feux. Le pot aux roses est découvert (...).
J'ai décidé de vous en parler. C'est probablement con, voir déloyal mais, c'est aussi l'une des raisons qui m'ont décidé à larguer notre Roi comme ils disent de plus en plus, "omnipotensimement" vôtre.
J'avoue que ceux qui tentent de m'attaquer ne font que donner, un coup d'épée dans un océan, pensant y attraper une baleine. Ils accoucheront d'une souris verte.
Mon ex donc, toutes les nuits, se réveillait en sursaut, criant les noms soit de Chirac, de Dominique de Villepin, De Richard que vous connaissez ou de.....Jacques Martin, après son décès car, j'avais décidé de me rendre à ses obsèques avec mes filles. Quoi de plus normal. Il n'a pas supporté.
Je ne vous parle pas de ses migraines incessantes, ses jérémiades. Son hyperactivité ne favorisait pas une bonne entente car, il arrivait toujours le soir, vidé, dépassé, étourdi, abasourdi, aigri et haineux pour ...ronfler comme un camion lorsqu'il trouvait le sommeil.
Voilà au temps du bonheur avec le seul homme que j'ai vraiment aimé.
Source: Alwihda - 20minutes
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Par okouetch le 15 Novembre 2007 à 05:25
Tchad: L'interview exclusive du Député Yorongar au sujet de l'Arche de Zoé, Idriss Déby, éclaboussé!
«Cécilia ex-Sarkozy, Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA, Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA et Idriss Déby Itno d'AMDJARASSE de KORNOY, sont pris la main dans le sac rempli d'innocents bébés tchadiens destinés aux réseaux de pédophiles, d'organes humains, de proxénètes, de cobayes en Europe, en Amérique etc.».
L'Indépendant: Quelle est votre réaction par rapport à l'affaire Arche de Zoé ?
Ngarlejy Yorongar: Je suis profondément choqué et humilié dans mon amour propre. C'est l'humiliation et un choc inacceptables que nous imposent M. Eric Breteau, ses coauteurs et complices d'avoir kidnappé, séquestré, tenté de vendre ces gamins grâce à l'ordre de mission établi par le même Breteau. Le summum de cette humiliation est atteint par M. Nicols Sarkozy de NAGY-BOCSA qui le plaque à la figure des Tchadiens, des Africains et du monde entier en nous ramenant des siècles en arrière, siècles de la traite négrière dont les plaies sont encore et toujours béantes. Et que des gens comme le Président Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA et Gilles Desesquelles de l'Union européenne rêvent en leur for intérieur de la restaurer en ce troisième millénaire.
L'Indépendant: Comment appréciez-vous le comportement des Autorités tchadiennes face aux pressions de la France et qu'aurez-vous fait si vous étiez au gouvernement ?
Ngarlejy Yorongar: J'ai honte de M. Idriss Déby Itno d'AMDJARASSE de KORNOY et son équipe. M. Idriss Déby Itno d'AMDJARASSE de KORNOY complice de M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA se comporte comme les roitelets des siècles de la traite noire qui vendaient leurs propres fils, filles, maman, papa, frères, sœurs, tantes et oncles etc., contre les gadgets et autres babioles tels le fusil, vin, rhum, sel, parures etc. M. Idriss Déby offre nos bambins de 0 à 9 ans pieds et poignes liés aux réseaux de pédophiles, de voleurs d'organes humains, de proxénètes et de cobayes contre son maintien au pouvoir. C'est une complicité insupportable comme au temps de l'esclavage. Ca me fait vomir comme tous les autres Tchadiens à l'exception bien sûr de M. Idriss Déby et son entourage de sangsues. Il n'a même pas honte de verser les larmes de crocodiles» l'autre jour à la télé à Abéché.
L'Indépendant: En tant qu'élu du peuple qu'est ce que le Député fédéraliste que vous êtes exigez de l'exécutif tchadien pour son rôle dans cette affaire ?
Ngarlejy Yorongar: D'abord, en tant que Député, j'entends me constituer partie civile aux termes des dispositions de la constitution en son article 116 qui dispose que «Le député représente la nation toute entière». Mais, en attendant, je me suis, à travers la Fondation pour le Respect des Lois et des Libertés (FORELLI) dont j'assume la présidence, constitué partie civile depuis le 5 novembre 2007 par voie d'intervention. Cette constitution enregistrée sous le n°064/JO-1er CAB/07 du 6 novembre 2007 au Cabinet du Doyen des Juges d'Instruction (premier Cabinet) est transmise par celui-ci au Procureur de la République pour ses réquisitions, sous le n°088/JO-1er CAB/07 du 9 novembre 2007 comme le font fréquemment les associations de tous genres notamment celles du pays de M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA. Et ce, conformément à l'article 285 du code de procédure pénale qui dispose que «La voie principale pour l'exercice de l'action civile consiste soit en une citation directe devant la juridiction de jugement soit en une constitution de partie civile devant le juge d'instruction». C'est ce que j'ai fait devant le Doyen des Juges d'instruction qui a la charge de l'affaire en déclarant mon élection de domicile par lettre du 12 novembre 2007 aux termes des dispositions de l'article 292 de ce code. Alors, j'attends. Toutefois en tant que Député qui représente le peuple tchadien, je déposerai ma constitution au courant de cette semaine puisque l'Etat tchadien dont les fonctionnaires et auxiliaires sont impliqués dans cette affaire ne peut et ne doit pas se constituer partie civile. A moins que les manipulations prennent le dessus sur le droit.
L'Indépendant: Avez-vous un reproche à adresser au peuple français et son gouvernement ?
Ngarlejy Yorongar: Les Africains et singulièrement les Tchadiens ont tendance à faire de l'amalgame en mettant le peuple français dans le même sac que le gouvernement français. Ce n'est, pas mon cas. Pas normal. Le comportement d'un Jacques Chirac ou celui d'un Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA n'a, absolument, rien avoir avec celui d'un peuple français très aimable. Les gouvernants français ne demandent jamais l'avis du peuple français pour agir en son nom. Comme Dieu, que n'a-t-on pas fait au nom des peuples dont les Français. Est-ce que le tandem Déby-Kassiré demande l'autorisation au peuple tchadien pour accepter l'intervention des forces françaises au Tchad sous le parapluie des Nations-Unies et de l'Union Européenne ? Donc s'en prendre aux journalistes européens qui viennent faire leur travail d'information comme je l'ai vu hier, le 9 novembre 2007, quand j'entrais au Palais de Justice, ce n'est pas sérieux de la part des auteurs de tels actes. Tous les Français ne ressemblent pas à M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA et tous les Européens ne sont pas forcément mauvais. Donc, pas d'amalgame s'ils vous plaît. Nos jeunes ont l'obligation d'exprimer leur ras-le bol, mais pas à s'en prendre à des innocents parce qu'ils sont blancs. Ceux qui poussent la roue de la violence doivent se rappeler qu'ils étaient européens notamment français jusqu'au 11 août 1960, date de l'accession du Tchad à l'indépendance. Ce qui fait courir M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA, c'est que les Sarkozy sont impliqués dans cette affaire dès le départ. Pris, la main dans le sac, les Sarkozy veulent, à tout prix, étouffer cette affaire dans l'œuf pour limiter les dégâts sur leur famille. Ainsi, en date du 3 novembre 2007, Mme Angélique Négroni du journal, Le Figaro, s'est fait l'écho de la colère de «la nièce d'un des bénévoles de l'Arche de Zoé incarcéré au Tchad. Ce sapeur-pompier aurait été abusé par les dirigeants de l'association qui lui aurait fait croire que l'opération de sauvetage des enfants était patronnée par Mme Cécilia Sarkozy», qui devrait être dans l'avion de M. Breteau pour Abéché, n'eut été son problème de divorce. Rappelez-vous que Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA, est également, en plein dans le «merdier» ! C'est ce qui explique l'énervement de son frère aîné lors de sa fracassante déclaration de guerre du 6 novembre 2007aux accents napoléoniens et au style stalinien en Bretagne en route pour un voyage officiel aux Etats-Unis : «J'irai chercher ceux qui restent quoi qu'ils aient fait» clame-t-il avec colère, «QUOI QU'ILS AIENT FAIT» aux gamins du Tchad insiste-t-il pour prouver qu'il ne plaisante. Après son épouse Cécilia Sarkozy devenue depuis ex-Sarkozy pour avoir obtenu le divorce, c'est le tour du Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA, son frère cadet de foncer les yeux fermés aux côtés des Pieds nickelés de l'humanitaire (Arche de Zoé alias Children Rescu). Une fois le scandale éclaté, cela pousse M. Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa aux premières loges des dessous de la «lamentable équipée» de l'Arche de Zoé. Voici quelques bonnes adresses des Sarkozy pour vos confrères tatillons qui aiment vérifier ces informations que j'ai mises à votre disposition pour être publiées dans édition du 6 au 13 novembre 2007. Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA est lié à Mme Stéphanie LEFEBVRE (lefebvre.s@parisbiotech.org) directrice de Parisbiotech.org et Mme Catherine Grandazzi (catherine_grandazzi@yahoo.fr), responsable de Maia (www.maia-asso.org) et secrétaire générale du collectif des familles pour les orphelins du Darfour (COFOD). C'est une association 1901 déclarée à Paris (www.cofod.fr), toutes deux sont des vielles relations de M. Eric BRETEAU, Président et initiateur de l'opération foireuse «Children Rescue» au Tchad. Les deux protagonistes se connaissent, dit-on, depuis 15 ans. Or, Mme Stéphanie LEFEBVRE est la directrice adjointe de Paris Biotech Santé (http://www.parisbiotechsante.org/jo/1/). Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA a été comme vous le savez vice-président du conseil de surveillance de «Bio Alliance Pharma» et associé au sein dAEC Partners (http://librafrique.com/index.php?option=com_alphacontent§ion=1&cat=1&task=view&id=59&Itemid=41) «Pédiatre de formation, Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA fut successivement directeur médical France d'Aventis Pharma, directeur médical et pharmaceutique France de Hoechst Marion Roussel, directeur du développement international, responsable du développement clinique international et chef de produit au niveau mondial pour les antibiotiques chez Roussel-Uclaf, assistant au sein du département de physiologie respiratoire à lAP-HP. Cest également au sein de lAP-HP que Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA a réalisé son internat en pédiatrie (Interne des Hôpitaux de Paris), titulaire de MBA obtenu auprès de lINSEAD, si l'on en croit Bio Alliance Presse du 5 janvier 2006 dans un communiqué de presse. Que fait exactement BioAlliancePharma où travaille dur Dr François Sarkozy de NAGY-BOCSA ? La compagnie a développé des médicaments comme le Doxorubicin Transdrug® pour traiter des maladies décrites comme mille fois plus virulentes en Asie du Sud-est et en l'Afrique sub-saharienne, si l'on prête foi à Boursorama. D'autre part, pour développer ces remèdes, la société a fait appel à des expérimentations sur des patients, comme, par exemple, pour le Loramyc, 540 patients sur 40 sites répartis entre les Etats-Unis, le Canada et l'Afrique du Sud», peut-on lire sur Smartbrief. «Coïncidence, M. Eric Breteau, ses coauteurs et complices de l'Arche de Zoé voulaient «évacuer» 10.000 orphelins du Darfour vers la France, le Canada et les Etats-Unis. Quant à AEC Partners» où siège Dr François Sarkozy, de NAGY-BOCSA «Son plus riche client est le géant américain Pfizer, leader mondial de l'industrie pharmaceutique, spécialiste entre autre du traitement de la maladie d'Alzheimer, «Grande Cause nationale» de la République de M. Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa en 2007. ll n'y a bien entendu aucun rapport entre le fait que son frère cadet, Dr François Sarkozy ait, pour plus riche client, le géantisme Pfizer et le fait que la maladie d'Alzheimer devienne grande cause nationale de la France. Au printemps, le Nigeria attaque devant la justice le fameux Pfizer qui aurait «effectué en 1996 de façon illégale l'essai clinique d'un médicament appelé Trovan Floxacine sur 200 enfants atteints de méningite à méningocoque», selon de multiples sources au dessus de tout soupçon. Selon Afrik.com, le géant américain aurait donc en 1996 «secrètement utilisé des enfants comme cobayes dans les tests d'un médicament». 2,75 milliards de dollars d'indemnités sont réclamés à l'inventeur du Viagra, car 11 enfants sont morts (5 ont pris le premier produit, 6 le second) et de nombreux autres ont subi des séquelles: surdité, paralysie, lésions cérébrales ou cécité», si l'on en croit Afrik.Com du 21 mai 2007», alors que c'est le très américain The Washington Post qui a déterré l'affaire. Pour reprendre les termes du Journal chrétien, «Parisbiotech, où bossent dur, Mme Stéphanie LEFEBVRE, secrétaire générale de L'Arche de Zoé et Dr François Sarkozy le frère cadet de M. Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, cette histoire, n'est pas une histoire d'amateurs; ils sont très professionnellement organisés et ne manquent pas de fonds et de soutiens en tout genre. Ils n'avaient donc aucun mal pour organiser et financer l'opération « d'évacuation» menée par l'Arche de Zoé au Tchad. La «petite» association «Arche de Zoé» semble avoir préparé cette opération avec beaucoup de relations d'influence et de moyens techniques et financiers». «Je tiens à vous informer que l'AFP de Loire-Atlantique rapporte les propos tenus par un couple d'accueil, M. ET Mme Haivian et Cécile Hervy :«Nous, on a témoigné parce qu'on veut que la vérité soit établie, et malgré des représailles, si ce couple ose parler à la presse». Et Mme Cécile Hervy d'affirmer avoir reçu un coup de fil anonyme de «représailles».«On a été convoqué pour une réunion; le 1er septembre, avec 300 personnes, où on nous a indiqué que si on voulait continuer; il faut verser pour les frais médicaux et la logistique»,, complète Mme Cécile Hervy.. Au cours de cette réunion», ajoute-t-elle. «Eric Breteau avait réponse à tout et il avait l'air de savoir où il allait... On envisage de porter plainte pour abus de confiance, mais pas pour escroquerie».conclut-elle.
L'Indépendant: Par rapport à la lecture faite par M. Nicolas Sarkozy, quelle est votre lecture de la convention judiciaire qui lie le Tchad à la France ?
Ngarlejy Yorongar: En effet, M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA a fait une lecture erronée voire intéressée des dispositions de cette convention notamment l'article 45 relatif à l'extradition: «Les individus qui sont poursuivis pour crimes ou délits punis par les lois des Parties contractantes d'une peine d'au moins un an d'emprisonnement». L'extradition à laquelle il fait allusion peut être refusée par le Tchad pour le présent cas parce que «... les infractions ont été commises en tout ou partie sur le territoire de l'Etat» tchadien (article 49, alinéa c). A moins que M. Idriss Déby continue à céder aux pressions de son ami en accédant à sa demande d'extradition de ces criminels contre l'humanité infantile.
L'Indépendant: Que savez-vous des 74 gamins déjà convoyés en France ?
Ngarlejy Yorongar: Pour le cas d'espèce il s'agit non pas d'une tentative d'enlèvement, mais d'un enlèvement, séquestration, tentative de vente des 103 gamins interceptés par la justice d'Abéché et vente éventuelle des soixante-quatorze (74) gamins déjà convoyés en France. Donc, il est impossible d'extrader ces malfrats. C'est pourquoi, M. Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA estime que les Français bon teint comme les Breteau ne doivent pas être arrêtés, placés sous mandat de dépôt, jugés et condamnés par de «vulgaires nègres juges et esclaves du Tchad», «quoi qu'ils aient fait aux bébés du Tchad» comme c'est le présent cas. A cet effet, la copie de la lettre adressée par le Secrétaire Général du Réseau des ADH du Tchad (RAT) au Procureur Général mentionne qu'une plainte a été dressée contre Arche de Zoé en septembre 2007 par ce Réseau. Cette lettre décrit le trajet emprunté par M. Alain Péligat un des responsables de Children Rescu et les soixante-quatorze (74) enfants kidnappés, lesquels sont embarqués dans un avion qui atterrit; le 17 septembre 2007, à Mourmelon-Le-Petit (aéroport militaire). Ensuite, ils ont emprunté le train N 39881 (deuxième classe) à 06 heures 34 minutes pour la gare de Chalons. De Chalons, ils ont pris le TGV 02778 (toujours en deuxième classe) pour la gare de Paris Est où ils sont arrivés à 08 heures 00. De là, un véhicule N 15 les embarque pour ensuite disparaître dans la nature. Pour prouver sa bonne foi, le Réseau produit un papier qui mentionne un dossier N QZOKZK suivi d'un mot manuscrit mal écrit et le nom de M. Alain PELIGAT, responsable de collectif des familles pour les orphelins du Darfour (COFOD), un «machin» créé par M. Breteau. Est également annexe à cette lettre de Réseau, une liste de vingt-cinq (25) enfants de 3 à 9 ans répartis comme suit: sept (7) bambins considérés comme disparus ayant devant leurs noms, leur âge et leur village, puis dix huit (18) autres gamins enregistrés dans les camps des réfugiés sont considérés également comme disparus. Ce papier mentionne, en outre, l'âge de chacun de ces enfants. Pour toutes fins utiles, les parents d'une fillette née vers 2001 et d'un garçon né vers 2003 viennent de me saisir pour les aider à les retrouver. Ces deux petits enfants portés disparus après le passage d'un véhicule faisaient paître le troupeau de moutons aux alentours de Farchana (Adré) semblent se retrouver sur cette liste. En dépit de toutes ces révélations, les Sarkozy de NAGY-BOCSA, leurs alliés et leurs lobbies qui, pourtant s'agitent, vous diront, la main sur leur cœur, qu'ils ne sont pas au courant de cette affaire. Pour les démentir, je livre à votre sagacité une lecture tirée du journal, Le Nouvel Observateur, du 7 novembre 2007 : «M. Eric Breteau raconte à qui veut l'entendre, dans des réunions avec les prétendues familles d'accueil en ces termes.. l'Elysée est derrière lui, que le président Sarkozy, empêtré dans sa politique d'immigration, si mal vue en Afrique, cherche à monter un coup médiatique pour se redorer le blason. Mais, chut... il ne faut rien dire. C'est top secret. Au cours des réunions avec les familles (d'accueil), il fait même courir le bruit qu'un représentant de l'Elysée est dans la salle. Mieux, Cécilia suit le dossier.
Après les infirmières bulgares, elle veut sauver des enfants du Darfour. Le président la soutient... Une opération «confidentiel défense»... A deux reprises, ils (les Breteau) empruntent les avions de l'armée française qui font le taxi entre N'Djamena et Abéché. Le 19 septembre, vingt personnes de Children Rescue embarquent à bord d'un Transall militaire avec 1,7 tonne de matériel et de médicaments. Sur place, elles vont se ravitailler à la supérette de la base. Les militaires leur fournissent du kérosène pour leur avion privé, un Piper PA-32 (...) qui achemine les enfants depuis la ville d'Adré..». En plus de l'article de Mme Angeline Négroni de Nouvel Observateur du 7/11/07, lisez «Nicolas Sarkozy en première ligne dans l'affaire de l'Arche de Zoé», AFP du 4/11/07, «Paris Biotech: un cocon protecteur pour jeunes entreprises de la santé», AFP du 3/10/06, «Inauguration de la pépinière d'entreprises Paris Santé Cochin» ,AFP du 17/10/07, «Fin de la grève du personnel de nuit à l'Hôpital américain de Neuilly» et «Accord direction/personnel de nuit à l'Hôpital américain de Neuilly», AFP du 17 et 28/2/06, «Les 100 noms qui vont compter» par Yves Derai, Le Figaro du 12/5/07, «Aujourd'hui, ce sont eux qui incarnent la fameuse "rupture" Les 100 de Sarkozy», par Hervé Algalarrondo, Le Nouvel Observateur du 10/5/07, «Eux aussi ont fait gagner Sarkozy», Le Monde du 8/5/07, «Des rides, et c'est pas fini» par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, Libération du 22/5/07, «BioAlliance Pharma Names Francois Sarkozy as Vice-Chairman of its Supervisory Board; Healthcare Industry Professional Brings Further Operational and International Experience to Specialty Pharma Company», par Business Wire, 5/1/06 etc. Cette triste histoire de rapt d'enfants par M. Breteau et consorts me rappelle une autre histoire bien tchadienne celle-là lors que j'apprends par le journal, La Tribune de Genève, du 2/11/07 que «La responsabilité tchadienne établie: Idriss Deby a rencontré le Président de l'association Arche de Zoé», M. Eric Breteau. Il faut rappeler qu'au Tchad également des multiples kidnapings des gamins et gamines, des hommes robustes et des femmes solidement fortes, originaires principalement du centre et du sud du pays ont été opérés de la même manière par les militaires membres de la famille de M. Idriss Déby pour en faire des esclaves destinés aux divers travaux domestiques notamment les travaux champêtres, le puisage d'eau, à la recherche des foins pour les chameaux, des bois de chauffe etc. (lire Tchad, le procès d'Idriss Déby, témoignage à charge, Editions l'Harmattan, septembre 2003, par Ngarlejy Yorongar). Tout comme les Sarkozy, les Déby sont parfaitement au courant de ce qui allait se passer. «M. Idriss Déby et président de l'Arche de Zoé, Eric Breteau, se sont rencontrés courant septembre» précise la Tribune de Genève. «Le rendez-vous a eu lieu en catimini en début de soirée dans la résidence privée d'Idriss Déby à N'Djamena», en dehors de l'agenda officiel» Et Maître Collard, avocat des Breteau de se faire plus précis: «Si cela est vrai, ça confirme ce que nous disons la vérité depuis le début de l'affaire. A savoir que l'opération était connue des autorités tchadiennes et françaises et que l'interdiction soudaine qui s'est abattue sur la réalisation de cette opération est une énigme». Eric Breteau qui était effectivement au Tchad en septembre aurait passé un accord avec le président. A l'appui de cette thèse, notre interlocuteur avance que c'est le palais présidentiel qui a délivré l'autorisation d'atterrir au Boeing 747 affrété par l'Arche de Zoé. Abéché étant considérée comme une zone de guerre, il ne pouvait pas en être autrement» confirme le journal. «L'avion n'aurait pas pu décoller puis atterrir sans un plan de vol directement approuvé par le président (...). Plusieurs personnes évoquent le rôle joué depuis Paris par Abacar Manany, conseiller spécial d'Idriss Déby. Décoré de la Légion d'honneur par Jacques Chirac en 2005, ce diplomate aurait tout mis en oeuvre pour que Paris et N'Djamena stoppent l'opération et la réprouvent, de part et d'autre, avec la même vigueur. Il reste que le rendez-vous jusque-là tenu secret entre Idriss Déby et le président de l'Arche de Zoé soulève de nouvelles questions. Idriss Déby dit que son gouvernement a été trompé et que l'association a menti sur ses intentions. Qu'avait-il été convenu en septembre»? Il reste que le rendez-vous jusque-là tenu secret entre Idriss Déby et le président de l'Arche de Zoé soulève de nouvelles questions. Idriss Déby dit que son gouvernement a été trompé et que l'association a menti sur ses intentions. Qu'avait-il été convenu en septembre? Un secret pour personne. L'Arche de Zoé n'a jamais caché que son intention était de rapatrier un maximum d'enfants. Ce n'était un secret pour personne, ni en France ni au Tchad. Aujourd'hui, dix-neuf personnes (neuf Français, sept Espagnols, deux Tchadiens et un Belge) sont poursuivies pour «enlèvement de mineurs». Aucune n'a pu encore s'exprimer librement sur le fond de l'affaire. Du côté de la mission diplomatique du Tchad à Genève, on refusait hier «d'infirmer» ou de «confirmer» qu'il y avait bien eu une rencontre en septembre entre Idriss Déby et Eric Breteau. Il y a parfois des opposants qui essayent de récupérer cette affaire pour dire n'importe quoi», se bornait-on à commenter. Si c'est le cas, les opposants se trouvent aussi dans les rangs de l'actuel gouvernement». Ce sont des blessés de guerre. Des enfants à évacuer d'urgence. Un stratagème monté par Eric Breteau et ses disciples. Une ruse grossière, guignolesque. Le pompier d'Argenteuil a transformé des enfants bien portants en estropiés rescapés de l'enfer du Darfour. Faux bandages sur la tête, perfusions aux bras, pansements maculés de Betadine. Une mise en scène digne d'un mauvais film. Il a aussi organisé un autre truquage, tout aussi grave. Il a inventé une fausse immatriculation pour son association de choc, Children Rescue, la couverture de son raid tchadien. L'ONG affirme être inscrite auprès de la Préfecture de Police de Paris, mais fournit aux autorités locales un faux numéro d'enregistrement. Officiellement, l'Arche de Zoé, elle, est bien inscrite à la Préfecture de Paris sous le n°05/2346/00171/192. Children Rescue apparaît, elle, sur ses documents sous le matricule 05/2386/0271/592. Pratiquement le même ? Un habile faux pour brouiller les pistes et user de ce passe-droit en territoire tchadien pour berner tout le monde, ONG installées, sur place, incluses. En fait, Children Rescue est un fantôme administratif. L'association n'a jamais été enregistrée. Mais les Rambo de l'humanitaire n'ont que faire de la paperasse et des chicaneries bureaucratiques. Ils sont en mission. Rien ne doit l'empêcher d'aboutir. Ni le gouvernement français, ni ces ONG trop sages qui respectent les lois locales, ni les autorités tchadiennes qui ne doivent se douter de rien. Pour embarquer les enfants vers «la liberté et la sécurité», l'équipée est montée comme une opération des services secrets. L'appareil qui doit transporter les 103 enfants ? fi a des allures d'avion furtif : un Boeing 757 de la compagnie charter espagnole Girjet, garé en bout de piste, caché derrière un terre-plein sur le petit aéroport d'Abéché. Parti de Madrid, il a changé de nationalité en cours de route. Il devient islandais au Tchad. Le scénario de «l'exfiltration» est simple : les passagers monteront à bord au petit jour, à l'abri des regards, grâce à une échelle de fortune fabriquée par Children Rescue. Pour rejoindre l'appareil, le convoi empruntera une piste isolée, afin de contourner la base française et les zones habitées. Départ à la sauvette. Quasi clandestin. Le commando n'a pas le choix. Il est en «résistance contre la lâcheté des hommes. Ont-ils seulement conscience qu'ils sont en train d'organiser une forme de rafle, de razzia» ? En effet, Children Rescue n'est enregistré nulle part. Ni en France, ni au Tchad. Juste une site Internet logé aux Etats-Unis. En dépit de tout ce qui précède, il est prévu qu'une haute personnalité française fasse le déplacement pour accueillir ces petits enfants tchadiens volés à leur arrivée à l'aéroport militaire prévu à cet effet. Ce déplacement aura, pour seul but, de réaliser un coup médiatique dans le dessein du lancement des forces françaises basées au Tchad, muées en forces en de l'Union Européenne avec le parapluie et la bénédiction des Nations-Unies comme en Côte d'Ivoire. Comme deux larrons en foire, MM. Idriss Déby d'AMDJARASSE de KORNOY et Nicolas Sarkozy de NAGY-BOCSA s'entendent parfaitement sur tous ces détails. Manque de pot, un tout petit disfonctionnement dans l'opération les a tous fait prendre la main dans le sac. En se cachant tantôt chez un de ses très proches parents tantôt dans son jardin privé pour recevoir M. Breteau, M. Idriss Déby ne veut pas que cette audience figure pas son agenda officiel de la Présidence de la République. Tout comme, en infiltrant l'Arche de Zoé par son épouse, Cécilia, et par son frère cadet, Dr François Sarkozy de NEGY-BOCSA, M. Nicolas Sarkozy de NEGY-BOCSA veut ficeler cette opération grâce aux multiples liens que les organisations diverse et autres laboratoires de recherches et dexpérimentation dirigés par son frère cadet ont tissé avec l'Arche de Zoé alias Children Rescu, M. Nicolas Sarkozy de NEGY-BOCSA veut contrôler, avec force détails, cette opération de grande médiatisation en cette période où l'affaire du Darfour est montée en épingle par la communauté internationale pour le besoin de la cause. Cette opération de vol d'enfants tchadiens, comme l'affirme M. Eric Breteau, devrait lui permettre de redorer son blason terni par sa politique d'immigration en Afrique et surtout par sa déclaration tonitruante de Dakar, juste en face de la maison des esclaves. Alors qu'instruit par son Ministère à la suite d'un procès-verbal d'audition accablant en date du 10 août 2007 pour M. Breteau établi par un officier de police judiciaire de la brigade de protection des mineurs, l'Ambassadeur de France au Tchad, M. Bruno Fournier passe outre pour mettre à la disposition de M. Breteau des avions et installations français tant à N'Djaména qu'à Abéché. Ceci étant, pourquoi toutes ces agitations, panique et dérobades des Sarko qui ont laissé faire ce Breteau et ses compagnons? Et pourquoi les larmes de crocodiles des Déby qui l'ont reçu en catimini sur le tapis rouge dans leurs jardins privés ou résidence secondaire pour éviter les traces de cette audience à la Présidence? Suivez mon regard... Et «wait and see» le feu et les morceaux choisis que va cracher M. Breteau comme il l'a promis dans ses différentes cellules notamment à Abéché et à N'Djaména en présence de ses co-détenus gênants tels que les membres de l'équipage et des journalistes, si, d'aventure, les Sarkozy et autres Déby ne se démerdent pas à les sortir de ces cochonneries appelées pompeusement prisons au Tchad. Et alors, tant pis pour celui qui l'a reçu dans ses jardins privés et résidence secondaire ou celui qui l'a laissé fréquenter son ex-épouse pour le besoin des trafics d'influence et de chantage. Cette triste histoire risque d'inspirer au moins deux films aux titres évocateurs comme : «Pour voler les gamins tchadiens, Déby et Breteau sautent en duo sur les appartements et jardins privés de Farcha». Et «Sarko promet sauter sur la prison de première classe d'Amsénéné pour y chercher Breteau et tous ceux qui restent pour les ramener en France, quoi qu'ils aient fait aux bébés tchadiens» (à suivre)Source: Alwihda - Alwihda
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Par okouetch le 15 Novembre 2007 à 04:37
"Le Canard Enchaîné" consacre un article à Rama Yade dans sa rubrique « prises de bec », ce qui en soi est déjà un certain signe de reconnaissance...
Selon "le Canard", lors de son passage à la séance de questions de l'assemblée il y a une dizaine de jours pour s'expliquer sur l'affaire de l'Arche de Zoé, Rama Yade aurait lu ses notes car une répétition le matin, avec des parlementaires UMP s'était révélée peu probante (bombardée de questions, la secrétaire d'Etat n'avait pas du tout été claire dans ses explications).
L'hebdomadaire satyrique affirme que Rama Yade fait des « jaloux et des faux pas » et n'écoute que Nicolas Sarkozy (ce dernier lui aurait dit d'arrêter « ses gamineries » lorsqu'elle lui a dit le mal qu'elle pensait du régime gabonais), tandis que son ascension éclair serait mal vécue par certains membres de l'UMP.Cité par le Canard, un dirigeant UMP lui adresse (anonymement) un tacle sévère : « elle est très mignonne, Rama. Mais il faudrait qu'elle apprenne son métier avant de tout faire pour être pipolisée. Rachida(Dati),elle, au moins, elle bosse. »
« La princesse du quai » (surnom rapporté par le Canard) ne s'entendrait pas avec « la reine de la chancellerie » (Rachida Dati) au point que selon l'hebdomadaire, elles ne se salueraient même plus. Et ceux qui apprécient l'une ne supporteraient pas l'autre.Source: Alwihda - Alwihda
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