• Chers internautes,

    Je viens, par la présente missive, vous informer que vous pourrez désormais avoir accès à mon nouveau blog "POUR UN GABON MEILLEUR!" à cette adresse: http://okouetch.canalblog.com. Il suffit de cliquer dessus.

    Ce nouveau blog et celui-ci ont le même nom (Pour un Gabon meilleur!).

    J'ai dû déménager pour ce nouveau blog à cause des limites de celui-ci. Il ne m'offre pas toutes les fonctionnalités devant me permettre de bien vous servir.

    Vous aurez sur le nouveau blog, le fil RSS (lien) menant à l'ancien blog ie à celui-ci.

    Cordialement,

     

                   Jacques Janvier Rop's Okoué Edou

                        Intellectuel et écrivain gabonais

    Opposant au régime dictatorial et cleptocrate de O. Bongo

     


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  • Les 40 ans d'autocrato-cleptocratie de O. Bongo

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  • De  Mouvement africain des etudiants francophone de chicago  

    Sujet:  Appel d'Intervention
    APPEL A INTERVENTION Depuis le 31 Mai 2007, la situation de Monsieur MOUNGONGA Saturnin, Demandeur d'asile gabonais et président de la Coordination des Jeunes du Gabon Rénové, parallèlement haut cadre à la présidence de la république du Gabon n'a cessé de se détériorer sous l'escalade des attaques et pressions des haut dirigeants politiques gabonais, qui ont mis sur pieds des réseaux puissants, en nouant des relations mafieuses avec certains organismes de défenses de droit de l'hommes et d'autres personnalités civile camerounaise dans le but de le nuir.

    Le Cercle des jeunes Patriotes du Gabon, le Mouvement Africain des Etudiants francophones de Chicago, viens d'être informés de la grève de la faim que viens d'entamer le Président de la Coordination des jeunes du Gabon Rénové et demandeur d'asile au cameroun.

    Depuis huit mois,le HCR-CAMEROUN,traîne les pieds pour rendre une décision définitive à la demande d'asile faite par monsieur MOUNGONGA Saturnin,il est chaque fois humilier par les responsable de cette structure,qui n'ont aucun respect de la personnalité humaine, deux haut membres de cet structure ont été mise en cause dans cet affaire pour intelligence avec les persécuteurs de monsieur MOUNGONGA SATURNIN, aucune réaction n'a été observé du côté de Genève siége sociale de cet organisme,aucune enquête n'a été diligenté,nous comprenons aisément que le HCR est devenu un complice des pouvoir dictatoriaux,cela se justifié puisque les principaux bailleur de fond sont ses Etats qui opprimes le peuple africain et les réduits au néant.

    Nous avons lancé un appel à la communauté internationale pour une intervention immédiate : Condamner les agissements du HCR-Cameroun, et qu'une enquête soit ouverte pour apporter un éclaircissement sur les 7634 Euro reçu ou non par monsieur Jérôme Merlin conseiller juridique au HCR-Cameroun,de monsieur Ali Bongo Ondimba dans le but de mettre les peaux de banane à Monsieur MOUNGONGA Saturnin.

    Procuré une assistance direct et urgente à Monsieur Moungonga Saturnin qui se trouve dans un état critique Qu'un asile lui soit accordé dans un pays où sa sécurité serait garantie C'est pour cela qu'il incombe au reste du monde et à la grande majorité de la communauté internationale, de se dresser maintenant, pour que notre amis et frère retrouve sa dignité qui depuis 8 mois est bafoué Fait à chicago

    le 04 Décembre 2007. Juvenus OKWANMAGU Président du Mouvement Africain des Etudiants Francophones de Chicago. P.O. Box 33 MOUVEMENT AFRICAIN DES ETUDIANT FRANCOPHONE NF, A1C 5H5 Telephone/Fax: (709) 753-5600 Maef221@live.com


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  • Bongo dénonce la cleptocratie

    Le président du Gabon, Omar Bongo Ondimba, conforté dans son statut de doyen des chefs d'Etat africains, a fêté dimanche le 40e anniversaire de son arrivée au pouvoir en accusant le reste de la classe dirigeante d'avoir fait "main basse" sur les fonds destinés au développement. A Libreville, où un défilé militaire a été organisé, des affiches à l'honneur du président Bongo, qui aura bientôt 72 ans, ont été disposées un peu partout, vantant quatre piliers de ce mandat d'une durée inégalée en Afrique: "paix", "unité", "stabilité" et "progrès".
    L'intéressé, devenu président le 2 décembre 1967 à la mort de son prédécesseur Léon Mba, ne s'est toutefois pas apesanti sur les aspects positifs de son bilan lors de son allocution à la Nation samedi soir.

    "Je n'ai eu de cesse de me battre avec votre soutien pour la paix, la stabilité et l'unité nationale sans lesquels aucun travail ne peut-être fait", s'est-il félicité. Mais c'était pour mieux "regretter (...) que nous (n'ayons) pas toujours fait ce qu'il fallait pour préserver les nombreux acquis engrangés".

    Albert-Bernard Bongo, devenu Omar après sa conversion à l'islam en 1973, a rapidement pu bénéficier d'un boom pétrolier.

    Quarante ans après, le piteux état des routes et le déclin des systèmes sanitaire et scolaire sont autant de signes d'un rendez-vous manqué avec le développement dans ce pays d'Afrique centrale d'à peine 1,3 million d'habitant.

    Deux indicateurs résument ce paradoxe: le Gabon est le 84e pays le plus riche au monde si on considère son Produit intérieur brut (PIB) par habitant, évalué à 6.954 dollars; mais il dégringole à la 119e place, sur 177 Etats, dans le classement de l'Indicateur du développement humain (IDH). Un écart de 35 places, l'une des pires performances de la planète.

    "Je sais que l'état de notre réseau routier, de nos infrastructures sanitaires et scolaires, de nos moyens de transport publics, a connu une grave dégradation", a-t-il reconnu.

    Mais Omar Bongo, arbitre de chaque décision prise au Gabon, n'a pas fait de mea culpa, s'en prenant à l'administration, voire à ses ministres.

    L'Etat est "aujourd'hui affaibli par l'ethnisme, le clientélisme, l'affairisme, la corruption, la politisation outrancière, qui ont gangrené les pouvoirs publics", a-t-il estimé.

    Il a affirmé que les "détournements", la "course pour l'enrichissement illicite", la "corruption" et "l'impunité ambiante" dans la haute fonction publique avaient été autant de freins au développement dans un pays qui dispose également de bois et de minerais.

    Le "doyen" a encore attribué la contre-perfomance gabonaise au reste de la classe dirigeante qui, depuis le retour au multipartisme en 1990, "consacre beaucoup trop de temps à la politique", "au détriment de l'action publique".

    "Le gouvernement ne saurait être un rassemblement de roitelets", a-t-il lancé, demandant à son Premier ministre Jean Eyeghé Ndong de former "le moment venu" une nouvelle équipe "resserrée", plus intègre et plus efficace.

    Depuis 1990, le président Bongo, dernier "dinosaure" de la "Françafrique" et allié privilégié de Paris, a rallié à lui la plupart de ses plus virulents opposants, et veille, au prix de gouvernements pléthoriques, à préserver les différents équilibres ethniques et géographiques.

    "Les pétrodollars ont été importants dans le ralliement progressif des opposants", estime le sociologue gabonais Anaclé Bissiélo, relevant, y compris au sommet de l'Etat, "une confusion devenue structurelle entre le bien public et le bien privé".

    Source: Afrique centrale - le 2 décembre 2007.


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